Du gentilhomme brave et courageux, on passe au gentil mièvre et insignifiant. Très souvent on entend : être gentil, c’est être bête, c’est dire oui à tout… Pour rester compétitif et réussir il faudrait pouvoir se montrer méchant, user de tous les moyens, même déloyaux... !
Et puis il y a les autres… Ceux qui ont étudié et analysé cette gentillesse et qui ont découvert que ce serait bon pour le moral de dire bonjour, tenir la porte, sourire, faire un don… Que la gentillesse engendrerait la gentillesse et que l’entraide et la solidarité seraient de véritables leviers pour lutter contre certains problèmes économiques. Pardonner serait bon pour le cœur, le bénévolat rendrait moins dépressif…. être gentil nous rendrait beaucoup plus heureux. Toutefois attention… ce serait très contagieux!